Photos ; de bas en haut....
Scorpio bowl punch… (Interdit aux tîtes fiottes)
’Six rennes’ caribéenne..(Sans panache)
Kinésithérapie (d’eau) douce
Dia –bête diète
Nous passons environ 3 jours sur l’île d’Utila et profitons des eaux bleues pour aller plonger avec Babette et André du catamaran Atsani. Le 10 mai, nous partons pour l’île de Roatan, située à environ 30 miles plus à l’est et luttons encore une fois pendant 7 heures contre le vent. Heureusement, ces îles nous permettent de faire des étapes. Nous jetons l’ancre près du village de French Harbour ou l’eau, encore une fois, est magnifique. Replongée avec les copains. Visite du village qui n’est pas très engageant. Les gens nous observent et nous ne sommes pas très à l’aise. On ne traîne pas trop… Le 13 mai, nos copains, Babette et André nous quittent car ils ont de la route à faire. Leur plan est de rejoindre les Antilles puis le Venezuela, longue navigation contre le vent. Nous sommes tristes que nos routes se séparent car ils resteront une super belle rencontre comme on espère en avoir d’autres durant le voyage. Nous resterons ‘coinces’ à French Harbour pendant 3 jours supplémentaires a cause du vent d’est qui souffle fort. Nous passons alors du temps sur Fantasy Island, près du mouillage ou la plage est à tomber par terre. Nous buvons des petits cafés en terrasse et des singes viennent nous voler nos sachets de sucre. Pour lutter contre la chaleur, nous alternons bains de mer et bains d’eau douce dans la piscine de l’hôtel. Nous faisons également connaissance avec nos 2 voisins de bateau, un bateau américain et un anglais qui suivent la même route que nous. Finalement, le 17 mai, le vent se calme et les 3 bateaux lèvent l’ancre pour longer l’île de Roatan et aller plus a l’est au mouillage de Port Royal, très joli aussi et isole. Le lendemain, les 3 mêmes comparses profitent une nouvelle fois du vent relativement faible pour rejoindre la dernière île des îles de la baie, Isla Guanaja. Isla Guanaja est vraiment spéciale. L’île fait a peu près 18 Kms sur 6 et garde encore des séquelles visibles de l’ouragan Mitch qui l’a dévastée. Elle n’est pratiquement pas habitée, n’a pas de route. Toute la population de l’île est en fait regroupée sur un caillou au sud est de l’île ou il ne reste plus un cm2 inexploité. D’après les infos recueillies, les gens ont décide de vivre sur cette petite caye pour fuir les innombrables moustiques qu’ils n’avaient aucun moyen de combattre. Cette situation a donc crée un village bien particulier, véritable labyrinthe traverse par des petits bras de mer servant d’égouts a ciel ouvert. D’ailleurs nous sommes, parait-il, dans la petite Venise du Honduras (dixit le Lonely Planet). En tous cas, les gens sont sympathiques et l’île est entourée d’une flottille de pêche attendant la bonne saison pour ramasser crevettes et langoustes. Nous allons passer quelques jours à Guanaja, dernier ravitaillement en diesel, gaz, eau, nourriture et boissons en tous genres avant une prochaine longue étape. En effet, une grosse navigation nous attend prochainement pour finir de longer la cote du Honduras et contourner le Nicaragua ou la cote n’offre aucun port d’entrée. Prochain objectif : l’île de Providencia. Pour les férus de géographie, nous ne ferons pas l’affront de la situer. Pour les autres, en bon québécois, checkez sur la map !
Scorpio bowl punch… (Interdit aux tîtes fiottes)
’Six rennes’ caribéenne..(Sans panache)
Kinésithérapie (d’eau) douce
Dia –bête diète
Nous passons environ 3 jours sur l’île d’Utila et profitons des eaux bleues pour aller plonger avec Babette et André du catamaran Atsani. Le 10 mai, nous partons pour l’île de Roatan, située à environ 30 miles plus à l’est et luttons encore une fois pendant 7 heures contre le vent. Heureusement, ces îles nous permettent de faire des étapes. Nous jetons l’ancre près du village de French Harbour ou l’eau, encore une fois, est magnifique. Replongée avec les copains. Visite du village qui n’est pas très engageant. Les gens nous observent et nous ne sommes pas très à l’aise. On ne traîne pas trop… Le 13 mai, nos copains, Babette et André nous quittent car ils ont de la route à faire. Leur plan est de rejoindre les Antilles puis le Venezuela, longue navigation contre le vent. Nous sommes tristes que nos routes se séparent car ils resteront une super belle rencontre comme on espère en avoir d’autres durant le voyage. Nous resterons ‘coinces’ à French Harbour pendant 3 jours supplémentaires a cause du vent d’est qui souffle fort. Nous passons alors du temps sur Fantasy Island, près du mouillage ou la plage est à tomber par terre. Nous buvons des petits cafés en terrasse et des singes viennent nous voler nos sachets de sucre. Pour lutter contre la chaleur, nous alternons bains de mer et bains d’eau douce dans la piscine de l’hôtel. Nous faisons également connaissance avec nos 2 voisins de bateau, un bateau américain et un anglais qui suivent la même route que nous. Finalement, le 17 mai, le vent se calme et les 3 bateaux lèvent l’ancre pour longer l’île de Roatan et aller plus a l’est au mouillage de Port Royal, très joli aussi et isole. Le lendemain, les 3 mêmes comparses profitent une nouvelle fois du vent relativement faible pour rejoindre la dernière île des îles de la baie, Isla Guanaja. Isla Guanaja est vraiment spéciale. L’île fait a peu près 18 Kms sur 6 et garde encore des séquelles visibles de l’ouragan Mitch qui l’a dévastée. Elle n’est pratiquement pas habitée, n’a pas de route. Toute la population de l’île est en fait regroupée sur un caillou au sud est de l’île ou il ne reste plus un cm2 inexploité. D’après les infos recueillies, les gens ont décide de vivre sur cette petite caye pour fuir les innombrables moustiques qu’ils n’avaient aucun moyen de combattre. Cette situation a donc crée un village bien particulier, véritable labyrinthe traverse par des petits bras de mer servant d’égouts a ciel ouvert. D’ailleurs nous sommes, parait-il, dans la petite Venise du Honduras (dixit le Lonely Planet). En tous cas, les gens sont sympathiques et l’île est entourée d’une flottille de pêche attendant la bonne saison pour ramasser crevettes et langoustes. Nous allons passer quelques jours à Guanaja, dernier ravitaillement en diesel, gaz, eau, nourriture et boissons en tous genres avant une prochaine longue étape. En effet, une grosse navigation nous attend prochainement pour finir de longer la cote du Honduras et contourner le Nicaragua ou la cote n’offre aucun port d’entrée. Prochain objectif : l’île de Providencia. Pour les férus de géographie, nous ne ferons pas l’affront de la situer. Pour les autres, en bon québécois, checkez sur la map !