photo 5 : envoyer les voiles avec gillou sous grains soutenus
photo 2 la grand voile ...photo 3 le genois... ceci pour les penichophobes
photo 6 et 7 : biture force six rafales a 7
Lever tôt le 15 pour prendre le bus et faire un tour a Miami. 40 minutes plus tard, nous sommes dans le ‘downtown Miami’ pour prendre un petit déjeuner. Alors, franchement, Miami, ça casse pas 3 pattes a un canard ! La ville américaine dans toute sa splendeur, enfin si on peut encore appeler ça une ville américaine car tout le monde parle espagnol, les commerçants, comme a Key Biscayne s’adressent a nous en espagnol et ont tous des bonnes têtes d’hispaniques. En tout cas, la ville est composée d’immeubles vieillissants dans le style de la Courneuve, pas vraiment de monuments, des voies rapides qui passent au milieu de tout ça. On n’est pas emballes ! Et puis, contrairement a Palm Beach, ya pas que des riches ! Beaucoup de traîne-savate, l’œil hagard. On va a la bibliotheque, histoire de voir les e-mails, on se ballade un peu le long du « Bayside’ compose d’une marina et de magasins. On prend le tramway aérien (gratuit !) et hop on repart a Key Biscayne ou on ne regrette pas d’avoir mouille ! On retrouve notre petite baie, qui est en fait un trou a cyclone, avec environ 10 bateaux ou tout le monde commence à se connaître. Nous passons pas mal de temps avec les bateaux québécois qui lèvent bien le coude !!! Nous faisons des petits travaux sur Anesthésie. Nous fêtons, le 22 janvier, l’anniversaire du capitaine au petit restaurant cubain en face du mouillage. Du mauvais temps est annonce pour 2 jours et nous restons la. Avant que les vents forts n’arrivent, nous allons boire un petit café au restau cubain. Anesthésie profite de notre absence pour déraper et s’approcher dangereusement du quai en béton. Heureusement. Notre voisine de bateau vient nous avertir et nous retournons a bord remouiller correctement. 2 jours de vents forts qui nous obligent rester a bord et à surveiller notre ancre, comme tous nos voisins. Le 23 janvier, nous quittons Key Biscayne que nous avons bien aime pour continuer notre descente sur les Keys, cote océan car nous avons un tirant d’eau trop grand pour passer a l’intérieur. Donc, nous prenons le Biscayne Channel puis le Hawk Channel. Le vent qui devait être nord a tourne sud donc dans le pif ! Nous continuons donc avec notre péniche, aidés cependant par la grand voile. La mer est magnifique, d’un beau bleu turquoise. Nous naviguons en compagnie d’un bateau québécois, le ‘To ride Pegasus’ rencontre récemment. L’équipage est compose de Guy et Micheline, un couple dans la soixantaine qui a pris sa retraite en 2007. La navigation se passe bien. Nous longeons Elliott Key une partie de la journée et avons une petite pensée pour notre filleul a Montréal. Toujours des dauphins, des poissons trompettes, une tortue de mer qui montre le bout de son nez. Nous arrivons vers 16 heures à Rodriquez Key et mouillons au nord de l’île. Un petit bain de mer pour se rafraîchir, un petit verre de vin avec Guy et Micheline et au lit. Le lendemain nous nous réveillons dans un brouillard à couper au couteau. Nous restons donc une journée de plus à Key Rodriquez mais allons mouiller dans la journée de l’autre cote de l’île car du vent du nord jusqu'à 20 nœuds est annonce pour demain. Nous sommes tous seuls au mouillage. Le lendemain, nous quittons Key Rodriquez pour nous rendre à Marathon, 50 miles plus au sud. Vent du nord 20/25 nœuds. Anesthésie file sous génois entre 6 et 7.5 nœuds. Pas trop de mer. On arrive à Marathon, endroit soit disant très prise dans les keys. Tu m’étonnes !!! Nous rentrons dans Boot Key Harbor et prenons une bouée au milieu de dizaines et de dizaines de bateaux. Franchement, on a l’impression d’être dans un HLM de bateaux. Nous retrouvons quand même Guy et Micheline qui ne sont pas loin et passons la soirée ensemble. Demain, découverte de Marathon.
Lever tôt le 15 pour prendre le bus et faire un tour a Miami. 40 minutes plus tard, nous sommes dans le ‘downtown Miami’ pour prendre un petit déjeuner. Alors, franchement, Miami, ça casse pas 3 pattes a un canard ! La ville américaine dans toute sa splendeur, enfin si on peut encore appeler ça une ville américaine car tout le monde parle espagnol, les commerçants, comme a Key Biscayne s’adressent a nous en espagnol et ont tous des bonnes têtes d’hispaniques. En tout cas, la ville est composée d’immeubles vieillissants dans le style de la Courneuve, pas vraiment de monuments, des voies rapides qui passent au milieu de tout ça. On n’est pas emballes ! Et puis, contrairement a Palm Beach, ya pas que des riches ! Beaucoup de traîne-savate, l’œil hagard. On va a la bibliotheque, histoire de voir les e-mails, on se ballade un peu le long du « Bayside’ compose d’une marina et de magasins. On prend le tramway aérien (gratuit !) et hop on repart a Key Biscayne ou on ne regrette pas d’avoir mouille ! On retrouve notre petite baie, qui est en fait un trou a cyclone, avec environ 10 bateaux ou tout le monde commence à se connaître. Nous passons pas mal de temps avec les bateaux québécois qui lèvent bien le coude !!! Nous faisons des petits travaux sur Anesthésie. Nous fêtons, le 22 janvier, l’anniversaire du capitaine au petit restaurant cubain en face du mouillage. Du mauvais temps est annonce pour 2 jours et nous restons la. Avant que les vents forts n’arrivent, nous allons boire un petit café au restau cubain. Anesthésie profite de notre absence pour déraper et s’approcher dangereusement du quai en béton. Heureusement. Notre voisine de bateau vient nous avertir et nous retournons a bord remouiller correctement. 2 jours de vents forts qui nous obligent rester a bord et à surveiller notre ancre, comme tous nos voisins. Le 23 janvier, nous quittons Key Biscayne que nous avons bien aime pour continuer notre descente sur les Keys, cote océan car nous avons un tirant d’eau trop grand pour passer a l’intérieur. Donc, nous prenons le Biscayne Channel puis le Hawk Channel. Le vent qui devait être nord a tourne sud donc dans le pif ! Nous continuons donc avec notre péniche, aidés cependant par la grand voile. La mer est magnifique, d’un beau bleu turquoise. Nous naviguons en compagnie d’un bateau québécois, le ‘To ride Pegasus’ rencontre récemment. L’équipage est compose de Guy et Micheline, un couple dans la soixantaine qui a pris sa retraite en 2007. La navigation se passe bien. Nous longeons Elliott Key une partie de la journée et avons une petite pensée pour notre filleul a Montréal. Toujours des dauphins, des poissons trompettes, une tortue de mer qui montre le bout de son nez. Nous arrivons vers 16 heures à Rodriquez Key et mouillons au nord de l’île. Un petit bain de mer pour se rafraîchir, un petit verre de vin avec Guy et Micheline et au lit. Le lendemain nous nous réveillons dans un brouillard à couper au couteau. Nous restons donc une journée de plus à Key Rodriquez mais allons mouiller dans la journée de l’autre cote de l’île car du vent du nord jusqu'à 20 nœuds est annonce pour demain. Nous sommes tous seuls au mouillage. Le lendemain, nous quittons Key Rodriquez pour nous rendre à Marathon, 50 miles plus au sud. Vent du nord 20/25 nœuds. Anesthésie file sous génois entre 6 et 7.5 nœuds. Pas trop de mer. On arrive à Marathon, endroit soit disant très prise dans les keys. Tu m’étonnes !!! Nous rentrons dans Boot Key Harbor et prenons une bouée au milieu de dizaines et de dizaines de bateaux. Franchement, on a l’impression d’être dans un HLM de bateaux. Nous retrouvons quand même Guy et Micheline qui ne sont pas loin et passons la soirée ensemble. Demain, découverte de Marathon.