voleur le coati?
la dompteuse de serpents...
game boy costa ricain
golfito du haut...
puree de Poas!!
teatro cultural San Jose
volcan Irazu
cratere a terre
vallee d Orosi
Nous aimons bien El Golfito, petit village envahi par la végétation tropicale descendant des collines avoisinantes, copieusement arrosé par une saison des pluies qui n’en finit pas !!!! (marre des mains moites et des pieds poites !). Nous trouvons quand même une journée dégagée pour prendre la route sinueuse qui surplombe la baie et découvrir une belle vue d’ensemble sur El Golfito. Nous redescendons par un chemin escarpé digne des plus difficiles randonnées des Adirondacks ! Armés de bâtons pour se prémunir des serpents, nous nous en servons seulement pour éloigner les chiens hargneux à l’arrivée au village.
Le 11 novembre, nous laissons Anesthésie au mouillage, sous la surveillance de Tim, un américain qui vit a quelques mètres de là et nous prenons le premier bus pour nous rendre a San José, capitale du Costa Rica. Huit heures de voyage nous permettent de découvrir un paysage accidenté et très vert tout le long de la route. A l’arrivée à San José, nous expérimentons le système de bus foutoir que nous ne trouvons pas pratique ! En effet, contrairement aux autres pays, il n’y a pas de terminal de bus central et chaque compagnie a ses propres arrêts disséminés dans la ville, desservant une région spécifique. Sans information fiable (chaque renseignement demande est différent selon chaque personne !), nous voici arpentant, sac au dos, la capitale pour trouver notre prochain autobus !! Nous arrivons finalement à Alajuela, au nord ouest de San José ou nous passons la nuit dans un hôtel assez cher et pas très propre mais qui a le mérite d’avoir une grande télé et TV5. Nous nous abreuvons une grande partie de la soirée de culture et d’informations francophones !!! Le lendemain, départ pour le volcan Poas que nous aurons bien du mal à apprécier dans la brume et la pluie. Après avoir patienté plusieurs heures en discutant avec des compatriotes français, nous distinguons, pendant quelques minutes le cratère et son lac dissimulé par la nébulosité et les fumerolles. Retour a San José ou nous nous promenons dans la ville avant de prendre une chambre d’hôtel aussi sordide que la première mais sans la télé !!! L’objectif est d’atteindre le volcan Irazu, en croisant les doigts pour que la visibilité soit meilleure qu’au Volcan Poas. La chance sera avec nous ce jour là et nous passerons une grande partie de la journée à admirer le cratère spectaculaire du volcan Irazu, le volcan Turrialba tout proche et l’ensemble de la chaîne montagneuse. De toute beauté !!!! En redescendant, nous décidons d’aller nous mettre au vert dans une vallée fertile où nous trouvons un hôtel, repère de backpackers, dans le village d’Orosi. Nous devisons toute la soirée avec un Tico (habitant du Costa Rica) qui nous apprendra, en espagnol, moult informations sur son pays. Les nuits étant fraîches, nous enfilons (avec plaisir) pantalon et polaire.
Ankylosés par des semaines d’inactivité physique, nous partons, le lendemain, toujours bâton en main, marcher aux alentours du village, petite boucle de 5 heures a travers un véritable jardin tropical composé de caféiers, bananiers, citronniers, etc… De retour a l’auberge, nous partageons le spaghetti/bolognaise jusqu'à plus de minuit avec un couple de français très sympa en discutant de nos différentes expériences Costa Ricaines. Retour a Golfito le 15 novembre, accueillis par des trombes d’eau !!!!
Nous voudrions continuer notre voyage mais la bouteille de gaz défectueuse nous oblige à attendre une hypothétique réparation (manana, siempre manana !!!).
Le 11 novembre, nous laissons Anesthésie au mouillage, sous la surveillance de Tim, un américain qui vit a quelques mètres de là et nous prenons le premier bus pour nous rendre a San José, capitale du Costa Rica. Huit heures de voyage nous permettent de découvrir un paysage accidenté et très vert tout le long de la route. A l’arrivée à San José, nous expérimentons le système de bus foutoir que nous ne trouvons pas pratique ! En effet, contrairement aux autres pays, il n’y a pas de terminal de bus central et chaque compagnie a ses propres arrêts disséminés dans la ville, desservant une région spécifique. Sans information fiable (chaque renseignement demande est différent selon chaque personne !), nous voici arpentant, sac au dos, la capitale pour trouver notre prochain autobus !! Nous arrivons finalement à Alajuela, au nord ouest de San José ou nous passons la nuit dans un hôtel assez cher et pas très propre mais qui a le mérite d’avoir une grande télé et TV5. Nous nous abreuvons une grande partie de la soirée de culture et d’informations francophones !!! Le lendemain, départ pour le volcan Poas que nous aurons bien du mal à apprécier dans la brume et la pluie. Après avoir patienté plusieurs heures en discutant avec des compatriotes français, nous distinguons, pendant quelques minutes le cratère et son lac dissimulé par la nébulosité et les fumerolles. Retour a San José ou nous nous promenons dans la ville avant de prendre une chambre d’hôtel aussi sordide que la première mais sans la télé !!! L’objectif est d’atteindre le volcan Irazu, en croisant les doigts pour que la visibilité soit meilleure qu’au Volcan Poas. La chance sera avec nous ce jour là et nous passerons une grande partie de la journée à admirer le cratère spectaculaire du volcan Irazu, le volcan Turrialba tout proche et l’ensemble de la chaîne montagneuse. De toute beauté !!!! En redescendant, nous décidons d’aller nous mettre au vert dans une vallée fertile où nous trouvons un hôtel, repère de backpackers, dans le village d’Orosi. Nous devisons toute la soirée avec un Tico (habitant du Costa Rica) qui nous apprendra, en espagnol, moult informations sur son pays. Les nuits étant fraîches, nous enfilons (avec plaisir) pantalon et polaire.
Ankylosés par des semaines d’inactivité physique, nous partons, le lendemain, toujours bâton en main, marcher aux alentours du village, petite boucle de 5 heures a travers un véritable jardin tropical composé de caféiers, bananiers, citronniers, etc… De retour a l’auberge, nous partageons le spaghetti/bolognaise jusqu'à plus de minuit avec un couple de français très sympa en discutant de nos différentes expériences Costa Ricaines. Retour a Golfito le 15 novembre, accueillis par des trombes d’eau !!!!
Nous voudrions continuer notre voyage mais la bouteille de gaz défectueuse nous oblige à attendre une hypothétique réparation (manana, siempre manana !!!).