Nettoyage de printemps quand l occasion se présente
Réunion Franco Allemande au sommet!!!
Ca guinche a Avila city plage
On vit dangereusement aux States
Saperlipepette, qu as-tu dans la tête ?
Flânerie dans la ‘vieille ville’
Santa Barbara promenade de bord de mer
Toutes voiles ou cuisses dehors a Santa Barbara
Le 12 juin, nous quittons l’île Catalina a regret tant le coin est joli et agréable mais nous avons encore et toujours de la route a faire… Objectif, Santa Barbara, 80 miles plus loin. C’est pendant cette navigation que le logiciel de cartes marines, ‘Maxsea’ décide de nous faire son premier caca nerveux. Impossible de l’ouvrir ! Ce nouvel incident déprime beaucoup le capitaine qui a pris l’habitude, depuis le début du voyage, de faire sa route facilement sur l’ordinateur et doit retourner aux bonnes vieilles cartes papier !!!! Apres avoir longé de nombreuses plates formes pétrolières, nous arrivons quand même sans encombres, en pleine nuit, une fois de plus, dans la marina de Santa Barbara ou sont alignés des centaines et des centaines de voiliers (l’industrie de la plaisance n’est pas près de faire faillite en Californie !). Apres une nuit écourtée, nous allons nous promener vers le vieux quai de la ville et avons le grand plaisir de retrouver… Timo et Sandra, nos 2 allemands baroudeurs qui montent vers l’Alaska. Notre dernière rencontre remonte au Salvador et les retrouvailles sont chaleureuses autour d’un dîner ou Sandra et Timo nous racontent leurs dernières galères mécaniques. Les garçons essaient de résoudre le problème ‘Maxsea’ sans succès. Finalement, le capitaine zigonnera une bonne partie de la soirée sur l’ordinateur, se transformera en Bill Gates (sans les moyens financiers !), et miracle, le logiciel fonctionne a nouveau !! (Trop bon, le capitaine !!!). Attention, amis informaticiens, il y a de la concurrence ! Sinon, que dire de Santa Barbara ? La ville est riche et fleurie. Les rues sont remplies de pin up et tout est très propre. Même les clochards (si si il y en a) ont leur caddie de chez Dior propre et bien range !!! La prochaine étape est moins chic car nous devons passer le fameux ‘Point Conception’ que les instructions nautiques américaines nomment le Cape Horn du Pacifique (ouah la la !!!). Encore un effet venturi ou la mer peut se lever sur une distance considérable. Apres avoir discuté avec plusieurs locaux qui l’ont déjà passé, nous adoptons la tactique que tout le monde conseille. Il faut d’abord faire les 40 miles qui nous séparent de la pointe, s’abriter a Cojo Anchorage, mouillage juste avant le cap et attendre la nuit que les vents se calment pour passer cette zone dangereuse. Suivis de Timo et Sandra, nous attendons là et repartons vers 1 heure du matin vers Conception Point. Même si nous sommes un petit peu décoiffés, tout se passera bien pour effectuer les 14 miles difficiles de cette zone. Nous continuons notre chemin vers le nord et arrivons a Port San Luis ou nous sommes contents de nous accrocher a une bouée car le vent souffle a 25/30 nœuds (de face, bien évidemment !!). Que Brigitte Bardot se rassure, les phoques sont loin d’être tous extermines !!! Nous en voyons beaucoup depuis Cabo San Lucas mais la, a Port San Luis, ils pullulent : dans l’eau, sur les pontons (il faut jouer des coudes pour débarquer !), sur les bouées, dans les annexes etc... Nous apprenons également qu’ils ont déjà coule de petites embarcations, en montant a plusieurs, les déstabilisant par leur poids. Toutes ces chairs adipeuses ont un cri rauque bien particulier et nous assure un tapage quotidien !!! Le lendemain de notre arrivée est réservé au farniente et nous partons a pied jusqu’au village tout proche d’Avila qui borde la mer et s’anime en fin de semaine lorsque beaucoup de gros derrières viennent bronzer sur la plage (cousins des phoques). Nous pensions rester 2 jours à Port San Luis mais la météo a venir nous fera changer d’idée. En effet, un avis de tempête est annonce pour les 4 prochains jours sur une bonne partie de la cote californienne. Nous restons sagement a notre bouée et attendons que le mauvais temps passe en profitant de Port San Luis et en organisant un barbecue avec Timo et Sandra sur la plage (ça pourrait être pire !!!). Contrairement aux pays pauvres, nous avons plus de mal a accéder aux moyens de communication : la majorité des gens possédant Internet chez eux ainsi qu’un téléphone portable, les cabines publiques et les cafés Internet ont été, ici. éradiques. Le même phénomène s’applique aux transports publics inexistants dans les petites localités, tout le monde possédant une voiture. Nous regrettons les ‘chicken bus’ d’Amérique Centrale qui nous emmenaient n’importe ou a toute heure pour un prix dérisoire. Nous avons essaye le stop mais sans succès… Le 23 juin, les éléments se calment et Anesthésie prend un nouveau départ dans la grisaille et le brouillard pour nous emmener 120 miles plus au nord ouest, dans le port de Santa Cruz. Nous sommes actuellement mouilles près d’une sorte de foire du trône pour les français ou de ‘la Ronde’ pour les québécois. Les nombreux estivants viennent se faire secouer sur les montagnes russes et autres manèges pendulaires. L’amiral leur paierait bien un tour dans notre ‘machine a laver’ histoire de voir s’ils tiendraient la distance sur plusieurs miles sans ‘raouler’.
Le 12 juin, nous quittons l’île Catalina a regret tant le coin est joli et agréable mais nous avons encore et toujours de la route a faire… Objectif, Santa Barbara, 80 miles plus loin. C’est pendant cette navigation que le logiciel de cartes marines, ‘Maxsea’ décide de nous faire son premier caca nerveux. Impossible de l’ouvrir ! Ce nouvel incident déprime beaucoup le capitaine qui a pris l’habitude, depuis le début du voyage, de faire sa route facilement sur l’ordinateur et doit retourner aux bonnes vieilles cartes papier !!!! Apres avoir longé de nombreuses plates formes pétrolières, nous arrivons quand même sans encombres, en pleine nuit, une fois de plus, dans la marina de Santa Barbara ou sont alignés des centaines et des centaines de voiliers (l’industrie de la plaisance n’est pas près de faire faillite en Californie !). Apres une nuit écourtée, nous allons nous promener vers le vieux quai de la ville et avons le grand plaisir de retrouver… Timo et Sandra, nos 2 allemands baroudeurs qui montent vers l’Alaska. Notre dernière rencontre remonte au Salvador et les retrouvailles sont chaleureuses autour d’un dîner ou Sandra et Timo nous racontent leurs dernières galères mécaniques. Les garçons essaient de résoudre le problème ‘Maxsea’ sans succès. Finalement, le capitaine zigonnera une bonne partie de la soirée sur l’ordinateur, se transformera en Bill Gates (sans les moyens financiers !), et miracle, le logiciel fonctionne a nouveau !! (Trop bon, le capitaine !!!). Attention, amis informaticiens, il y a de la concurrence ! Sinon, que dire de Santa Barbara ? La ville est riche et fleurie. Les rues sont remplies de pin up et tout est très propre. Même les clochards (si si il y en a) ont leur caddie de chez Dior propre et bien range !!! La prochaine étape est moins chic car nous devons passer le fameux ‘Point Conception’ que les instructions nautiques américaines nomment le Cape Horn du Pacifique (ouah la la !!!). Encore un effet venturi ou la mer peut se lever sur une distance considérable. Apres avoir discuté avec plusieurs locaux qui l’ont déjà passé, nous adoptons la tactique que tout le monde conseille. Il faut d’abord faire les 40 miles qui nous séparent de la pointe, s’abriter a Cojo Anchorage, mouillage juste avant le cap et attendre la nuit que les vents se calment pour passer cette zone dangereuse. Suivis de Timo et Sandra, nous attendons là et repartons vers 1 heure du matin vers Conception Point. Même si nous sommes un petit peu décoiffés, tout se passera bien pour effectuer les 14 miles difficiles de cette zone. Nous continuons notre chemin vers le nord et arrivons a Port San Luis ou nous sommes contents de nous accrocher a une bouée car le vent souffle a 25/30 nœuds (de face, bien évidemment !!). Que Brigitte Bardot se rassure, les phoques sont loin d’être tous extermines !!! Nous en voyons beaucoup depuis Cabo San Lucas mais la, a Port San Luis, ils pullulent : dans l’eau, sur les pontons (il faut jouer des coudes pour débarquer !), sur les bouées, dans les annexes etc... Nous apprenons également qu’ils ont déjà coule de petites embarcations, en montant a plusieurs, les déstabilisant par leur poids. Toutes ces chairs adipeuses ont un cri rauque bien particulier et nous assure un tapage quotidien !!! Le lendemain de notre arrivée est réservé au farniente et nous partons a pied jusqu’au village tout proche d’Avila qui borde la mer et s’anime en fin de semaine lorsque beaucoup de gros derrières viennent bronzer sur la plage (cousins des phoques). Nous pensions rester 2 jours à Port San Luis mais la météo a venir nous fera changer d’idée. En effet, un avis de tempête est annonce pour les 4 prochains jours sur une bonne partie de la cote californienne. Nous restons sagement a notre bouée et attendons que le mauvais temps passe en profitant de Port San Luis et en organisant un barbecue avec Timo et Sandra sur la plage (ça pourrait être pire !!!). Contrairement aux pays pauvres, nous avons plus de mal a accéder aux moyens de communication : la majorité des gens possédant Internet chez eux ainsi qu’un téléphone portable, les cabines publiques et les cafés Internet ont été, ici. éradiques. Le même phénomène s’applique aux transports publics inexistants dans les petites localités, tout le monde possédant une voiture. Nous regrettons les ‘chicken bus’ d’Amérique Centrale qui nous emmenaient n’importe ou a toute heure pour un prix dérisoire. Nous avons essaye le stop mais sans succès… Le 23 juin, les éléments se calment et Anesthésie prend un nouveau départ dans la grisaille et le brouillard pour nous emmener 120 miles plus au nord ouest, dans le port de Santa Cruz. Nous sommes actuellement mouilles près d’une sorte de foire du trône pour les français ou de ‘la Ronde’ pour les québécois. Les nombreux estivants viennent se faire secouer sur les montagnes russes et autres manèges pendulaires. L’amiral leur paierait bien un tour dans notre ‘machine a laver’ histoire de voir s’ils tiendraient la distance sur plusieurs miles sans ‘raouler’.